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Web éditions

  • les campus numériques français

    Une offre de formation à distance diversifiée

    Toutes les grands champs disciplinaires universitaires sont concernés par la création des campus numériques (sciences, sciences humaines et sociales, médecine, droit, économie, gestion, sciences de l'éducation) et, globalement, également réparties dans leur représentation. Une part importante de l'offre (59%) a à la fois des visées locales et internationales.

    S'appuyant sur le retour d'expérience liée à l'essor de la e-formation qui a mis en lumière les limites du « tout à distance », les consortiums universitaires ont fait le choix de créer des dispositifs d'apprentissage alternant enseignement présentiel et enseignement à distance (« Blended formation »). Ainsi, seulement 24% de l'offre s'apparente à de l'enseignement à distance, sans aucune session en présentiel. 150 formations sont opérationnelles en 2010/2020.

     

    édition numérique

    le marché de l'édition sur Internet est devenu complémentaire du l'édition de livres traditionnelles. On constate des complémentarité mais aussi des concurrences comme le géant Amazone ou Price Minister. Google Books peut lui aussi être cité en référence.
    Parmi ces maisons d'édition on compte éditions Fayard, Editions Erès, éditions La Découverte, éditions Actes Sud, éditions de l'Atelier, AML Éditions ...
    En sciences humaines on citera De Boeck Supérieur , Les Éditions Hatier, PUG – Presses universitaires de Grenoble, L'Harmattan, Klincksieck, la collection 10/18 etc. 
    Pour ce qui est de la pure édition numérique, édition en ligne, pléthore de sites ont vu le jour depuis 15 ans : Bouquineo, e-Toiles, Hypallage Éditions, Numeriklivres, les éditions Solstice etc. (voir la liste sur Wikipedia). Adossés ou pas à une grande maison d'édition, les résultats sont mitigés.

    Parmi les diplômes, on constate qu'il s'agit généralement de diplômes de second ou troisième cycle universitaire. A cette situation, on trouve pour explication rationnelle la plus grande autonomie de l'apprenant qui a déjà suivi un cursus classique, et aussi la spécificité des formations proposées, offrant une plus-value tangible par rapport à des cycles universitaires de premier cycle communs à toutes les universités.

    Par ailleurs, le fractionnement de certains dispositifs d'apprentissage en unités de cours autonomes devrait permettre d'attirer le public de la formation continue. Car il ne faut surtout pas oublier qu'alors que les effectifs universitaires sont en baisse constante depuis 1995, le marché de la formation continue est dynamisé par l'action politique et l'instauration de la validation des acquis de l'expérience (qui peine cependant à se mettre en place). Or, les universités ne semblent pas vouloir laisser filer ce marché énorme de la formation tout au long de la vie au profit d'organismes privés. Une large gamme de formations sanctionnées ou non par un diplôme sont proposés au public professionnel. Car s'il est un public qui soit financièrement capable de se former à distance, c'est celui des professionnels.

    En effet, une formation de niveau Master (Bac+5) peut approcher les 4500 euros l'année, soit autant que le prix annuel pour certaines écoles de commerce. Il existe des disparités concernant l'implication de différentes universités françaises. Alors que certaines appartiennent à moins de quatre consortiums (Troyes, Corte, Avignon…), d'autres en revanche sont impliquées dans plus de six consortiums (Nancy, Grenoble, Toulouse…). Certaines universités semblent donc miser énormément sur la e-formation. Ces consortiums avalisés sont formalisés au travers d'accords cadre sous des formes juridiques différentes: groupements d'intérêt public, société anonyme à responsabilité limitée... Les intérêts de ces campus numériques divergent donc quant aux retombées possibles sur l'enseignement, avec pour toutes, un souci d'équilibre financier essentiel.

  • livre numérique en bibliothèque : réalisations

    Mettre en valeur un texte "ancien" numérisé

    Créer un livre numérique à partir d'un concours de nouvelles

    Monter des modules d'accueil Livre numérique / lire dans le futur pour collégiens et lycéens

    Prêter un livre ...et recevoir le fichier numérique en retour

     liste d'auteurs en sciences humaines : Gaston Bachelard, Maurice Halbwachs, Gabriel TARDE, Max Weber, Levy-Strauss, Balandier, Auguste Comte...

    liste d'auteurs rayon spiritualités : René Guénon, Alice Ann Bailey, Saint ALPHONSE DE LIGUORI 

    liste d'ouvrages en littérature chinoise : Sung-Nien Hsu, Hiao king...

    --> apprendre à créer un livre numérique // mutualiser les compétences entre deux établissements culturels // diffuser // fiches de lectures

    Prêter des liseuses aux clubs de lecteurs lors des rentrées littéraires liseuses, Sur les clubs de lecteurs, on peut avoir des avis différents. Ceux-ci se font une rentrée littéraire chaque année. En 2011, on renouvelle l'opération de 2010 avec le prêt de liseuses sur lesquelles ont été téléchargés les romans (disponibles) et choisis par les clubs. En 2010, 10 titres (sur les 50 demandés, sur les 113 existants en numérique et sur les 701 titres en compétition). Les bibliothèques de quartier se chargent entièrement de l'opération avec les lecteurs abonnés. Ces lectures font l'objet d'un retour par questionnaire. Monter des modules d'accueil Livre numérique / lire dans le futur pour collégiens et lycéens Les profs de littérature profitent des programmes scolaires pour introduire des modules Découverte. "Livre numérique" fait partie de Lire dans le futur et est organisé dans la bibliothèque. Chaque année sont accueillis plusieurs groupes, à la demande. Une présentation à l'écran - mise au point par les bibliothécaires du pôle Intermezzo - retrace les éléments essentiels et tire le fil rouge du livre numérique. Si les tablettes sont disponibles, elles font alors l'objet de manipulations en direct. Commentaires garantis...
  • Interassociation Archives Bibliothèques Documentation

    la création de l'association IABD...

    N'ayons pas peur des mots, le lundi 4 octobre 2010 restera comme une date plus que fondatrice dans la galaxie des bibliothèques, services d'archives et de documentation publiques français : la création de l'association IABD... pour Interassociation Archives Bibliothèques Documentation ... décidée par 16 associations professionnelles. Remplis de A de B de D, les sigles de ces associations aux noms imprononçables cachent une formidable énergie au service de leurs missions de service public [la répétition est volontaire]. Le pari engagé depuis quasiment 2005 était d'imaginer un collectif apte à faire œuvre de propositions constructives chaque fois que le législateur, les pouvoirs publics ou encore les partenaires privés menaçaient les libertés fondamentales de l'accès au savoir et à la connaissance. Dadvsi, puis Hadopi mais aussi Acta, œuvres orphelines, conseil Comité des Sages, commissions Tessier (patrimoine numérique), Prisunic pour ne citer que les plus emblématiques des projets, [je mettrai les liens plus tard, en attendant allez donc voir http://iabd.fr ] ont été l'occasion de forger une culture particulière et collective. Réjouissante journée qui voit la création d'une association de type fédératif où doit être mise en œuvre une gouvernance spécifique tournée entièrement vers l'efficacité. Assez parlé, au travail : les chantiers ne s'arrêtent pas. Et longue vie à l'IABD